C'est un peu tard pour répondre mais bon j'ai recherche et j'ai trouvé un texte que j'ai copié ( sur
www.starwars-holonet.com ) :
À l'instar de Coruscant et de Nar Shaddaa, les terres émergées de Taris sont recouvertes par une gigantesque mégalopole planétaire. Cependant, Taris est également assez différente de ses consœurs, car les zones urbaines ne recouvrent pas la totalité de la planète, les mers de ce monde recouvrant quand même 30% de la surface totale. Surnommée la Coruscant de la Bordure Extérieure, Taris fut une planète prospère depuis l'époque de sa découverte, car étant située à un carrefour de routes commerciales hyperspatiales des plus importantes. Néanmoins, Taris perdit de son importance quand, plusieurs années avant la Guerre Civile des Jedi, de nouvelles routes hyperspatiales plus avantageuses, car plus courtes, furent découvertes, et Taris ne fut plus dès lors une planète de transit d'importance. Ainsi, petit à petit, la civilisation tarisienne commença à décliner, mais resta assez importante pour la galaxie, notamment avec ses exportations de bière tarisienne, pour que ses infrastructures ne soient pas totalement délaissées.
La mégalopole urbaine de Taris se divise en trois strates bien distinctes : la Ville Haute, la Ville Basse et enfin la Cité Souterraine.
La Ville Haute est, comme son nom l'indique, la partie urbaine située dans les niveaux les plus élevés de la mégalopole. Elle constitue un cadre de vie tout à fait agréable et est uniquement habitée par les citoyens les plus aisés de Taris. En fait, les divisions de la mégalopole tarisienne sont assez représentatives de la mentalité qui règne dans la Ville Haute, cette dernière étant considérée par ses occupants comme strictement réservée aux humains. Toutefois, quelques non-humains arrivent, non sans quelques difficultés, à prospérer dans cette partie de la ville-planète. Ainsi, au détour d'un croisement, le visiteur de passage pouvait notamment trouver une boutique de droïdes tenue par une Twi'lek répondant au nom de Janice Nall, ou alors une cantina où Ajuur le Hutt gérait les paris allant de paire avec les duels qu'il organisait. Dotée des installations les plus sophistiquées, la Ville Haute comprenait un centre médical capable de soigner pratiquement toutes les blessures et maladies, à l'exception de la maladie des Rakghouls, véritable fléau des bas-fonds de Taris. De même, une garnison de la République, reconvertie en garnison Sith, était sise dans la Ville Haute, et à l'époque du blocus de Taris instauré par les Sith de Dark Malak, il était impossible de faire trois mètres dans les rues de la Ville Haute sans tomber sur une patrouille de soldats Sith.
La Ville Basse quant à elle était située un niveau au-dessous de celui de la Ville Haute, et était peuplée par les personnes les plus pauvres de Taris, pour la plupart des non-humains. Un des lieux les plus fréquentés de cette partie de la mégalopole était la cantina de Javyar, véritable melting-pot de races et de personnes issues de tous les horizons, même les chasseurs de primes. D'ailleurs, ce n'était autre que Zax, un Hutt qui possédait sa base d'opération dans cette cantina, qui était chargé de délivrer les primes aux chasseurs de têtes; même si cela n'était pas véritablement officiel, tout le monde savait que Zax travaillait pour le seigneur du crime local qu'était Davik Kang. D'ailleurs ce dernier, avec sa base d'opérations de contrebande, était le représentant sur Taris d'un syndicat du crime appelé l'Échange, et s'allouait notamment les services de Calo Nord et Canderous Ordo. La question du contrôle de la Ville Basse a toujours été très délicate, les rues de cette dernière étant souvent un sujet de rivalités entre les différents gangs qui pullulent dans cette partie de la cité. À l'époque de la Guerre Civile des Jedi, les deux gangs les plus notables étaient les Beks Cachés, menés par Gadon Thek, et les Vulkars Noirs, dirigés par Brejik, ancien Bek et protégé de Gadon, ces deux groupes se livrant une guerre des rues des plus meurtrières au sein de la Ville Basse.
Enfin, la Cité Souterraine constitue le niveau le plus bas de la mégalopole, se trouvant à même le sol de Taris, et ne constitue en fait qu'en une terre sauvage perpétuellement plongée dans l'obscurité. Cette terre est le lieu où vivent les Bannis, des personnes dont les prédécesseurs furent bannis des niveaux supérieurs de Taris pour leurs crimes. Privés de tout espoir de pouvoir un jour contempler le ciel et la lumière de Taris, les Bannis concentrent toutes leurs forces dans les activités de survie de leur peuple sans penser à rien d'autre. Excepté peut-être quelques illuminés tels que Rukil, qui croient en un avenir meilleur et en une Terre Promise, une colonie autosuffisante qui aurait été fondée bien avant la création de la Cité Souterraine. Quoiqu'il en soit, les Bannis ne reçoivent pas ou très peu de visiteurs, parmi lesquels la Twi'lek Mission Vao et son compagnon Zaalbar qui descendent parfois de la Ville Basse à ce niveau pour essayer de dégoter deux ou trois trouvailles qu'ils pourraient potentiellement revendre. Il est très dangereux de s'aventurer en dehors des enceintes grillagées des villages des Bannis, car au-delà de cette protection c'est le domaine des Rakghouls, des monstres humanoïdes capables d'infecter des personnes avec la maladie qu'ils transportent et de transformer leurs victimes également en Rakghouls.
À partir de la Cité Souterraine, on peut accéder à une entrée secrète de la base des Vulkars, à condition de n'avoir pas peur de se frotter aux meutes de Rakghouls et aux esclavagistes gamorréens. D'ailleurs, au cours d'une des escapades de Mission Vao et Zaalbar dans les égouts, les Gamorréens réussirent à capturer le Wookie, qui ne dut le fait d'être libéré qu'à Mission, accompagnée de Revan et Carth Onasi. Autre danger notable présent dans les égouts, la présence d'un Rancor qui garde justement l'entrée secrète de la base des Vulkars, bien que ce dernier n'ait pas réellement posé de problèmes à Revan et son groupe pour pénétrer dans la base vulkar et récupérer un accélérateur de fonceur afin de gagner une course pour libérer Bastila des griffes de Brejik.
Bien que Taris n'ait jamais été un membre officiel de la République, malgré son penchant pro-républicain, la République et les Sith ont vite compris l'importance que revêtait cette planète située à un carrefour spatial important et la nécessité de la contrôler. Afin de s'assurer l'allégeance de la planète, peu de temps avant la Guerre Civile des Jedi, des scientifiques de la République s'implantèrent sur Taris afin de mettre au point un sérum susceptible de contrer les effets de la maladie des Rakghouls, et ce afin que les soldats républicains soient immunisés contre ces créatures en vue d'expéditions punitives dans la Cité Souterraine et les égouts afin d'exterminer cette vermine. Malheureusement, leurs recherches, pratiquement abouties, furent interrompues par l'invasion des Sith, qui prirent le contrôle de la planète tout en y instaurant un blocus. Investissant les installations républicaines, les Sith découvrirent le sérum et en firent usage, non pas pour soigner les victimes des Rakghouls ou les prémunir contre ces créatures, mais pour leur usage personnel lors de leurs descentes dans la Cité Souterraine.
Dans une tentative pour forcer le blocus, la République Galactique envoya une de ses flottes, soutenue par la méditation de combat de Bastila Shan. Mais de manière tout à fait inattendue, les Sith concentrèrent leur action sur l'Endar Spire, la frégate corellienne FR-5 de Bastila, déconcentrant ainsi Bastila et abordant le vaisseau sans doute pour capturer la Jedi. S'échappant du vaisseau en perdition via une capsule de sauvetage, Bastila fut suivie par d'autres capsules, la dernière embarquant à son bord Carth Onasi et Revan, ce dernier ayant eu la mémoire altérée et sur laquelle on avait greffé une nouvelle identité. Si la capsule de Carth et Revan eut la chance de pouvoir atterrir dans la Ville Haute, celle de Bastila s'abîma dans la Cité Souterraine, et fut dépouillée par les Vulkars et son occupante capturée pour être offerte au terme d'une compétition de fonceurs. Explorant d'abord la Ville Haute, Carth et Revan s'associèrent par la suite à Mission Vao et Zaalbar pour pénétrer dans la base des Vulkars et, a posteriori, gagner la course pour libérer Bastila, au grand dam de Brejik qui tenta de stopper, mais vainement, le groupe.
Une fois la Jedi libérée, Revan fut contacté par Canderous Ordo qui lui proposait un plan d'évasion de la planète. Le Mandalorien donnant les moyens au groupe de s'infiltrer dans la garnison Sith grâce à T3-M4 afin de récupérer les codes d'autorisation de passage du blocus, Canderous présenta par la suite Revan à son patron Davik Kang dans sa base, et ce afin de pouvoir s'emparer de l'Ebon Hawk, vaisseau du seigneur du crime. Alors qu'ils étaient sur le point de s'emparer du vaisseau de Davik, Revan et son groupe furent confrontés à ce dernier et à Calo Nord, mais réussirent à tuer Kang tout en laissant Nord pour mort alors qu'il n'était que sévèrement blessé. Dès lors, il était plus que temps pour le groupe de filer de Taris car l'amiral Saul Karath, sur ordre de Dark Malak, avait entamé un bombardement planétaire avec l'aide du Léviathan. Réussissant à forcer le blocus, l'Ebon Hawk, après une brève échauffourée avec des chasseurs Sith, parvint à fuir en hyperespace pour gagner Dantooine. Malheureusement, l'intégralité de la mégalopole tarisienne et ses six milliards d'habitants furent réduits à néant. Après la Guerre Civile des Jedi, on ne sait pas ce qu'il est advenu de Taris, ni même si elle a été repeuplée, car se trouvant désormais loin de tout carrefour commercial.
Type : terrestre
Climat : tempérée
Terrain : mégalopole planétaire, océan
Atmosphère : type I – respirable
Hygrométrie : sèche
Gravité : standard
Diamètre : inconnu
Durée du jour : 26 heures standards
Durée de l’année : 381 jours locaux
Races intelligentes : humains, variable
Langue : Basic
Population : historique : 6 milliards; aujourd'hui : 0
Spatioports : plusieurs de classe galactique
Gouvernement : démocratie
Niveau technologique : galactique
Exportations : bière tarisienne, haute technologie, fournitures médicales
Importations : nourriture, technologie de vaisseaux, fonceurs